L’IRM est avant tout un outil diagnostique, dont l’examen est indiqué selon les symptômes ou la pathologie du patient.
Cette section a pour but de donner quelques éléments clés, pour l’optimisation des protocoles cliniques IRM, en fonction des différentes régions anatomiques.
Généralités sur le contraste IRM :
La séquence anatomique est l’image en pondération T1. Le tableau ci-contre, à droite illustre le contraste T1 de chaque liquide ou tissu, par rapport au gris moyen, de l’image.
La séquence T2 permet l’analyse fonctionnelle et généralement de réhausser la pathologie par rapport au tissu sain, en hypersignal.
Pour chacune des sections de ce paragraphe, un tableau extrait de l’atlas IRM pour la pratique, permettra de se repérer par rapports aux séquences et au signal IRM, en regard de la pathologie et de l’anatomie étudiée.
[1] Atlas IRM pour la pratique, par Hottya-Chelles C., http://www.editolimited.com